KI MUSUBI NO TACHI (3) Explication du «tsuki» (temps 2)
Quand on coupe en rotation, il est possible de terminer un gyaku yokomen à la manière d’un tsuki, et avec le sentiment du tsuki.
L'Aikido se trouve au-delà de la méthode conçue par Morihiro Saito à Iwama. La dépasser est nécessaire pour réellement comprendre l’art créé par O Sensei.
Quand on coupe en rotation, il est possible de terminer un gyaku yokomen à la manière d’un tsuki, et avec le sentiment du tsuki.
On s’aperçoit alors que les deux premiers temps du kumitachi ne frappent pas deux fois le même adversaire mais coupent deux adversaires différents.
Le carré est la base du cercle. Le mouvement d’Aikido ne peut s’inscrire dans un cercle que s’il repose sur le carré.
Tori arrête son mouvement après avoir effectué sa rotation et déclenche sa coupe finale à contre-sens de la spirale initiale, en inversant les hanches.
Shi ho fait en réalité référence aux quatre piliers de la technique : quatre pas sont en effet nécessaires à la construction du mouvement correct.
Le travail linéaire est nécessaire, mais c’est un artifice, c’est la réduction de mouvements conçus pour se déployer dans un cercle.
Il n’est pas possible de travailler en ligne avec des adversaires venant de plusieurs directions et attaquant simultanément, ce qui est bien la réalité.