
HAPPO GIRI dans les KUMITACHI
C’est irimi-tenkan qui rend possible happo giri, et irimi-tenkan est l’action permanente, perpétuelle, de l’Aikido
Philippe Voarino a étudié au dojo du Fondateur de l’Aikido, à Iwama. Maître Saito lui a transmis sa méthode en l’encourageant à découvrir, au-delà de cet outil pédagogique, l’art véritable d’O Sensei.
C’est irimi-tenkan qui rend possible happo giri, et irimi-tenkan est l’action permanente, perpétuelle, de l’Aikido
I have always used the pronunciation tai no henka instead of tai no henko, but there is a difference in meaning between them.
Pourquoi une différence d'écriture et de sens entre tai no henko et tai no henka ? Comment O Sensei l'écrivait ? Henka est il simplement une variation ?
Le septième suburi de l’aiki ken est un yokomen suivi d’un tsuki, comme le sixième suburi. Mais à la différence du sixième suburi, le tsuki est exécuté ici en avançant la jambe arrière.
La difficulté du sixième suburi se trouve dans l’enchaînement du yokomen et du tsuki. Dans les frappes, quelles qu’elles soient, la puissance est déterminante.
Le cinquième suburi est celui où apparaît pour la première fois la notion de yokomen uchi.
Le quatrième suburi de ken est un shomen exécuté alternativement à droite et à gauche.