KEN SUBURI #6
La difficulté du sixième suburi se trouve dans l’enchaînement du yokomen et du tsuki. Dans les frappes, quelles qu’elles soient, la puissance est déterminante.
Philippe Voarino a étudié au dojo du Fondateur de l’Aikido, à Iwama. Maître Saito lui a transmis sa méthode en l’encourageant à découvrir, au-delà de cet outil pédagogique, l’art véritable d’O Sensei.
La difficulté du sixième suburi se trouve dans l’enchaînement du yokomen et du tsuki. Dans les frappes, quelles qu’elles soient, la puissance est déterminante.
Le cinquième suburi est celui où apparaît pour la première fois la notion de yokomen uchi.
Le quatrième suburi de ken est un shomen exécuté alternativement à droite et à gauche.
maître Saito éclaire la raison d’être fondamentale des suburi : l’apprentissage de la forme.
Le trait vertical c’est le suburi du ken, c’est shomen. Il faut faire shomen avant de faire de l’Aikido. C’est ensuite seulement que commence l’étude de l’Aikido.
La pratique du sabre commence par l’apprentissage d’une saisie correcte. Découvrez comment tenir votre ken correctement pour pratiquer le 1er suburi.
A Iwama, maître Saito aimait raconter qu’O Sensei lui avait dit avoir triomphé de cet expert de kendo en utilisant notamment ce 8ème kumijo.