Ni no tachi - passage de l’exercice linéaire à la réalité circulaire (frappes 1, 2, 3 et 4)
Chaque coup est destiné à un adversaire différent : dans l’art martial véritable on ne frappe pas deux fois de suite la même personne.
Philippe Voarino a étudié au dojo du Fondateur de l’Aikido, à Iwama. Maître Saito lui a transmis sa méthode en l’encourageant à découvrir, au-delà de cet outil pédagogique, l’art véritable d’O Sensei.
Chaque coup est destiné à un adversaire différent : dans l’art martial véritable on ne frappe pas deux fois de suite la même personne.
Le travail dans les quatre directions permet désormais de comprendre qu’il ne s’agit pas du tout de se protéger du sabre d’uchi tachi.
Adieu vieux Georges, merci pour ton exemple, merci pour ton aide mille fois renouvelée, merci d’avoir servi l’Aikido comme tu l’as fait.
L’exercice qui est illustré sur la vidéo suivante porte le nom de ni no tachi dans la méthode de maître Saito. Il faut le voir comme un suburi.
Lettre ouverte en réponse à une interview d’Olivier Gaurin par Guillaume Erard.
La conséquence de cet enseignement d’O Sensei c’est qu’on ne change pas de technique, en Aikido, selon qu’on a un adversaire ou qu’on en a plusieurs.
Le déplacement physique du pratiquant d’Aikido est donc en rapport avec la manifestation du Ciel et de la Terre de la tradition chinoise.