
Dissiper une légende
Une simplification abusive qui nous a amenés à la croyance que tout en Aikido doit se faire en hanmi et qu’il faut plaquer hanmi sur tout.
Shisei, kokyu, kamae, maai, kaiten, tenchi, shiho, juji, koshi, kakuto… les principes étudiés dans le cadre de la méthode sont les clefs de la progression.
Une simplification abusive qui nous a amenés à la croyance que tout en Aikido doit se faire en hanmi et qu’il faut plaquer hanmi sur tout.
En Aikido il y a une position unique, c’est hanmi, et il n’y a rien d’autre qu’hanmi en tant que position. Hanmi précède et suit le mouvement.
Vaincre en Aikido n’est pas vaincre l’autre, c’est vaincre en soi l’esprit de combat, il faut "trancher l’attachement à la vie et à la mort".
Tout mouvement d’Aikido est une rotation dont tori est le centre. Tori doit donc prendre le centre du mouvement et l’occuper jusqu’au moment où ce dernier prend fin.
Qui fait le mouvement d’Aikido ? C’est pas moi. Je ne sais pas qui le fait, mais je sais que ce n’est pas moi.
Les techniques d’Aikido sont conçues pour briser, pour détruire, et elles sont d’une redoutable efficacité dans ce domaine.
Comprenez la subtilité entre shomen uchi et yokomen uchi dans l'aïkido et les nuances biomécaniques à partir des enseignements du Maître Saito.