
Si le postulat est faux
Le début de Jusan no jo et de Sanju ichi no jo ont un point commun. Dans ces deux séquences il existe en effet une frappe avec le jo qui paraît inutile.
Le début de Jusan no jo et de Sanju ichi no jo ont un point commun. Dans ces deux séquences il existe en effet une frappe avec le jo qui paraît inutile.
L’instant de la frappe n’est pas en position hanmi, il est entre deux positions hanmi. On appelle cet instant kenka goshi.
Par convention, tous les suburi de jo se travaillent sur une ligne. Cette manière artificielle de pratiquer permet à l’étudiant de se concentrer sur la forme.
La spirale initiale de shiho nage fusionne un instant avec la spirale de kote gaeshi, il est possible de transformer l’une dans l’autre sans rupture.
L’esprit de tori doit voir plus loin que le bras qui l’attaque, il doit pénétrer dans la sphère d’uke, la traverser pour frapper le cœur de l’attaque.
Dans shiho nage, la puissance totale ne peut être délivrée que dans la mesure où la rotation irimi-tenkan est complète.
C’est irimi-tenkan qui rend possible happo giri, et irimi-tenkan est l’action permanente, perpétuelle, de l’Aikido