Le véritable 5ème kumitachi
Chaque frappe du sabre est définitive et destinée à un adversaire différent. Il y aura donc autant d’adversaires qu’il y a de frappes.
Les suburi se pratiquent seul pour acquérir la forme. Les kumitachi se pratiquent avec un partenaire pour acquérir l’awase qui n’apparaît qu’avec l’autre.
Chaque frappe du sabre est définitive et destinée à un adversaire différent. Il y aura donc autant d’adversaires qu’il y a de frappes.
le 5ème kumitachi dans sa version pédagogique classique, afin de pouvoir comparer cette version scolaire à la réalité martiale qu’elle simplifie.
S’il n’y a pas une vision claire de la forme prise par l’exercice pédagogique en ligne quand il est restitué dans les quatre directions, les erreurs sont inévitables.
Il n’y a pas six kumitachi, il y a cinq kumitachi et ki musubi no tachi. Ce n’est pas un kumitachi ordinaire. Musubi veut dire mariage, ici mariage "des" ki.
On peut désormais comprendre la logique de ce mouvement éminemment martial, dès lors qu’il est ainsi exécuté en rotation.
Quand on coupe en rotation, il est possible de terminer un gyaku yokomen à la manière d’un tsuki, et avec le sentiment du tsuki.
On s’aperçoit alors que les deux premiers temps du kumitachi ne frappent pas deux fois le même adversaire mais coupent deux adversaires différents.